Une réforme de l’urbanisme devrait prochainement voir le jour. Cette nouvelle réforme permettra aux Français d’agrandir leur maison de 40 m2, sans avoir besoin d’un permis de construire. Passant de 20m2 à 40m2, cette autorisation d’agrandissement, sans permis, n’est cependant pas tout à fait exclue de démarche ! En effet, il vous faudra fournir bon nombre de document et de plans à votre Mairie et c’est ensuite le Maire de votre ville qui validera ou non cette extension, dans un délai d’un mois au lieu de 2 à 6 mois pour un permis de construire. A noter que cette simple déclaration préalable est rarement refusée sauf cas extrême mettant en danger l’habitation ou n’étant pas conforme aux règles d’urbanisme par exemple.

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Vous êtes à la recherche d’informations sur l’impact d’une construction d’abri de jardin sur la taxe foncière ? Vous vous demandez si le montant de votre taxe foncière sera impacté par la construction d’un abri de jardin ? Découvrez dans cet article les réponses à ces questions. Qu’est-ce que la taxe foncière ? La taxe foncière est un impôt local qui est perçu annuellement par les collectivités locales sur la propriété foncière des particuliers et des entreprises. Elle est affectée à la couverture des dépenses publiques des collectivités locales. La taxe foncière est calculée en fonction de la surface d’un terrain ou d’un immeuble et elle est payée à la commune ou au département concerné. Peut-on construire un abri de jardin sans autorisation ? Les abris de jardin sont considérés comme des travaux de construction et, par conséquent, ils nécessitent une autorisation urbanisme. Les abris de jardin dont la surface est inférieure à 5m2 et dont la hauteur est inférieure à 2,20m ne nécessitent pas d’autorisation urbanisme. Pour les abris de jardin dont la surface est supérieure à 5m2 et dont la hauteur est supérieure à 2,20m, une autorisation est obligatoire. Est-ce que la construction d’un abri de jardin impacte ma taxe foncière ? La construction d’un abri de jardin peut impacter le montant de votre taxe foncière. Si vous construisez un abri de jardin dont la surface est inférieure à 5m2 et dont la hauteur est inférieure à 2,20m, la taxe foncière ne sera pas impactée. Cependant, si vous construisez un abri de jardin dont la surface est supérieure à 5m2 et dont la hauteur est supérieure à 2,20m, alors votre taxe foncière sera impactée. En effet, le montant de votre taxe foncière sera augmenté de manière forfaitaire et le montant de la taxe sera calculé en fonction de la surface et de la hauteur de l’abri de jardin. Quelles sont les démarches à suivre ? Si vous souhaitez construire un abri de jardin dont la surface est supérieure à 5m2 et dont la hauteur est supérieure à 2,20m, vous devez suivre les démarches suivantes : Demander une autorisation auprès de votre mairie ou de votre département ; Faire une déclaration préalable de travaux auprès de la mairie ou du département ; Faire une demande de taxe foncière auprès de votre mairie ou de votre département ; Faire une déclaration d’impôts auprès de votre commune ou de votre département ; Faire une déclaration de taxe sur la propriété foncière auprès de votre mairie ou de votre département. Enfin, n’oubliez pas que la taxe foncière est calculée en fonction de la surface et de la hauteur de l’abri de jardin. Quelle est la taxe foncière applicable aux abris de jardin en Île-de-France ? En Île-de-France, la taxe foncière applicable aux abris de jardin est calculée en fonction de la superficie et de la hauteur de l’abri. Dans la plupart des cas, le montant forfaitaire de la taxe foncière est de 20€ par m2 de surface taxable et par mètre de

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Les constructions et leur aménagement sont soumis à des règles très strictes. Dans le cadre d’une maison, il est important de connaître les différentes surfaces qui sont à prendre en compte pour le calcul de la surface taxable et de la surface habitable. Il est aussi important de connaître les pièces qui font partie de la surface habitable et celles qui ne font pas partie de cette surface. Une question qui revient souvent est : le garage fait-il partie de la surface de plancher ? Dans cet article, nous allons vous expliquer en détail si le garage fait partie de la surface de plancher et quelles sont les conséquences. Qu’est-ce que la surface de plancher ? La surface plancher est une notion très importante dans le cadre de la construction et de l’aménagement d’une maison. Elle est définie par le Code de l’urbanisme comme la superficie totale des sols de l’ensemble des locaux clos et couverts, à l’exception des terrasses, balcons, jardins et autres espaces extérieurs. Cette surface est calculée en mètres carrés et doit être déclarée lors de la déclaration préalable. Qu’est-ce que la surface habitable ? La surface habitable est définie par le Code de l’urbanisme comme étant la superficie des locaux clos et couverts, à l’exception des terrasses, balcons, jardins et autres espaces extérieurs, dont la hauteur sous plafond est supérieure ou égale à 1,80 mètre. Elle est calculée en mètres carrés et doit être déclarée dans la déclaration préalable. Le garage fait-il partie de la surface de plancher ? Le garage fait-il partie de la surface de plancher ? La réponse à cette question n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît. En effet, le Code de l’urbanisme ne précise pas si le garage fait partie ou non de la surface de plancher. En revanche, le Code de l’urbanisme précise que pour un garage, seules les surfaces situées à moins de 1,80 mètres sous plafond font partie de la surface habitable. Si le garage est situé à plus de 1,80 mètres sous plafond, alors il ne fait pas partie de la surface habitable. Par conséquent, le garage peut faire partie ou non de la surface de plancher, selon sa hauteur sous plafond. Si la hauteur sous plafond est inférieure ou égale à 1,80 mètres, alors le garage fait partie de la surface habitable et donc de la surface de plancher. Si la hauteur sous plafond est supérieure à 1,80 mètres, alors le garage ne fait pas partie de la surface habitable et donc de la surface de plancher. Quelles sont les conséquences? Les conséquences de la prise en compte ou non du garage dans la surface de plancher sont nombreuses. En effet, si le garage fait partie de la surface de plancher, alors il faut le déclarer dans la déclaration préalable et il sera soumis à la taxe d’aménagement. Si le garage ne fait pas partie de la surface de plancher, alors il ne sera pas soumis à la taxe d’aménagement. De plus, la prise en compte

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Une terrasse peut être soit taxable soit non taxable. Cela dépend de la surface de la terrasse, des travaux d’aménagement, du sol sur lequel elle est construite et de la déclaration préalable. Dans cet article, nous allons vous expliquer comment déterminer si votre terrasse est taxable ou non. Qu’est-ce qu’une surface taxable ? Une surface taxable est une surface qui est définie par le code de l’urbanisme et qui doit être déclarée dans le cadre d’un projet de construction ou d’aménagement. Elle peut être comprise entre autres, dans une terrasse, un abri de jardin, une terrasse surélevée, une terrasse en plain-pied, une taxe foncière, une taxe d’aménagement, une déclaration préalable de travaux, une taxe d’habitation et un plafond de hauteur. Est-ce que toutes les terrasses sont taxables ? Non, toutes les terrasses ne sont pas taxables. Les surfaces qui sont considérées comme non-taxables sont celles qui sont situées à l’intérieur d’une habitation ou qui ne dépassent pas les limites de la propriété. Les terrasses qui sont situées à l’extérieur d’une habitation ou qui dépassent les limites de la propriété peuvent être considérés comme étant taxables. Comment calculer la surface taxable ? Pour calculer la surface taxable, vous devez d’abord calculer la superficie de votre terrasse. Vous devez ensuite soustraire les surfaces qui ne sont pas considérées comme étant taxables, telles que les surfaces non-considérées comme étant habitables, les surfaces non-construites et les surfaces qui sont situées à l’intérieur d’une habitation. Une fois que vous avez soustrait les surfaces non-taxables, vous pouvez calculer la surface taxable. Comment déterminer le montant de la taxe ? Une fois que vous avez calculé la surface taxable, vous pouvez déterminer le montant de la taxe en fonction de la superficie de votre terrasse. Le montant de la taxe est généralement calculé en fonction de la superficie et du type de construction. Les taxes peuvent également varier en fonction de la région où vous vivez. Qu’est-ce qu’une déclaration préalable ? Une déclaration préalable est une déclaration que vous devez faire auprès de votre mairie avant de commencer des travaux, qu’il s’agisse de la construction d’une terrasse ou de toute autre modification de votre propriété. Cette déclaration doit être faite avant le début des travaux et doit comprendre des informations telles que les dimensions, le type de construction, le type de sol et le type de travaux. La déclaration préalable est une étape importante pour s’assurer que vos travaux respectent les règles de l’urbanisme et que vous êtes en mesure de prouver que vos travaux sont conformes à la législation en vigueur. Quelles sont les conséquences d’une déclaration préalable ? Une fois que vous avez fait la déclaration préalable, vous avez l’obligation de respecter les règles de l’urbanisme. Ce qui signifie que vous ne pouvez pas construire une terrasse plus grande que ce qui est indiqué dans votre déclaration préalable et que vous ne pouvez pas construire un abri de jardin qui dépasse les limites de la propriété. Si vous ne respectez pas les règles de l’urbanisme,

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Vous avez l’intention de construire ou d’agrandir une maison sans l’aide d’un architecte ? Vous avez besoin de savoir quelle surface est nécessaire pour construire sans recourir à un architecte ? Dans cet article, nous allons vous expliquer quelle surface vous devez prendre en compte et les différentes lois et règlements que vous devez respecter pour construire sans architecte. Quelle surface pour construire sans recourir à un architecte ? La surface prise en compte pour construire sans recourir à un architecte est l’emprise au sol. L’emprise au sol est la surface totale de la construction, c’est-à-dire la surface occupée par les murs, les escaliers, les terrasses, les balcons et autres éléments construits. En France, pour construire sans architecte, la surface maximale autorisée est de 20 m² si la construction est située en zone urbaine. Par contre, si la construction est située en zone rurale, la surface minimale autorisée est de 170 m². De plus, vous devez prendre en compte le seuil de recours à un architecte. Selon le Code de l’urbanisme, si vous souhaitez construire une maison dont la surface est supérieure à 170 m², vous devez faire appel à un architecte. Par ailleurs, vous devez respecter les exigences du Code de l’urbanisme, car elles peuvent avoir une incidence sur la surface maximale autorisée. Par exemple, si vous souhaitez construire une maison dont la surface est supérieure à 20 m², vous devez effectuer une déclaration préalable. Comment construire sans recourir à un architecte ? Pour construire sans recourir à un architecte, vous devez respecter certaines conditions. En premier lieu, vous devez vous assurer que la surface de la construction est inférieure à 20 m², si la construction est située en zone urbaine, ou supérieure à 170 m², si elle est située en zone rurale. De plus, vous devez également vous assurer que la construction est destinée à un usage d’habitation. Si vous souhaitez construire une maison dont la surface est supérieure à 20 m², vous devez effectuer une déclaration préalable et respecter les conditions de développement de la surface imposées par le Code de l’urbanisme. Enfin, vous devez vous assurer que la construction est conforme à l’ensemble des règlements et des lois en vigueur. Si la construction est située en zone urbaine, vous devez vous assurer que la surface est inférieure à 20 m² et que vous avez respecté les conditions imposées par le Code de l’urbanisme. Les différentes étapes à prendre en compte pour construire sans recourir à un architecte Si vous souhaitez construire une maison sans recourir à un architecte, vous devez respecter différentes étapes et conditions. La première étape est de vous assurer que la surface de la construction est inférieure à 20 m² si elle est située en zone urbaine ou supérieure à 170 m² si elle est située en zone rurale. La deuxième étape est de vous assurer que la construction est conforme aux règlements et aux lois en vigueur. Si la construction est située en zone urbaine, vous devez vous assurer que la surface

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Vous envisagez d’installer une cuisine d’été sur votre terrain ? Vous vous demandez si elle est imposable ? Dans cet article, nous allons répondre à cette question. Quelle est la définition d’une cuisine d’été ? Une cuisine d’été est un espace extérieur aménagé comprenant des équipements électroménagers et des meubles pour pouvoir cuisiner ou préparer des repas. Elle est généralement installée sur un balcon, un patio ou un jardin. Est-ce qu’une cuisine d’été est imposable ? La réponse est oui. Une cuisine d’été est en effet imposable. En effet, elle est considérée comme une construction et est donc soumise à la taxe d’aménagement. Il est important de noter que la taxe d’aménagement ne s’applique pas uniquement aux constructions neuves, mais également aux constructions existantes qui sont réaménagées. Afin de déterminer si votre cuisine d’été est imposable, vous devez vous renseigner auprès de votre mairie. Comment calculer la taxe d’aménagement ? La taxe d’aménagement est calculée en fonction de la surface habitable de la cuisine d’été. Si vous construisez une cuisine d’été, vous devrez également tenir compte de la surface du jardin ou du patio où elle sera installée. Si vous souhaitez construire une cuisine d’été, vous devez également vous renseigner auprès de votre mairie afin de connaître les règles et les restrictions en matière d’urbanisme et de construction. En effet, certaines régions peuvent exiger une autorisation d’urbanisme avant de commencer les travaux. Exonération de la taxe d’aménagement Il est possible de bénéficier d’une exonération de la taxe d’aménagement, sous certaines conditions. En effet, si votre cuisine d’été est située dans votre résidence principale, vous pouvez bénéficier d’une exonération totale ou partielle. Cependant, certaines conditions doivent être remplies pour bénéficier de l’exonération. Vous devrez vous renseigner auprès de votre mairie pour connaître les détails. Quelles sont les autres taxes que vous devez prendre en compte ? Vous devez également prendre en compte d’autres taxes lors de l’aménagement de votre cuisine d’été. Si vous envisagez d’installer une piscine, une veranda ou un abri de jardin, vous devrez également vous acquitter de taxes supplémentaires. Taxe foncière Si vous souhaitez installer une piscine, une veranda ou un abri de jardin, vous devrez vous acquitter de la taxe foncière. La taxe foncière est calculée en fonction de la surface de la construction et de sa nature. Si vous avez des revenus fonciers, vous devrez également les déclarer et les inclure dans le calcul de la taxe foncière. Taxe d’habitation La taxe d’habitation est également due lorsque vous aménagez une cuisine d’été. Elle est calculée en fonction de la surface habitable de votre logement. Ainsi, si vous aménagez une cuisine d’été et que celle-ci augmente la surface habitable de votre logement, la taxe d’habitation sera recalculée en conséquence. Déclaration préalable des travaux Si vous envisagez d’aménager une cuisine d’été, vous devrez peut-être déposer une déclaration préalable des travaux auprès de votre mairie. La déclaration préalable des travaux est un document qui décrit le projet de travaux que vous envisagez de réaliser. Il est important de remplir

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Vous avez un projet de construction et vous vous demandez quel est le prix d’un permis de construire ? Un permis de construire est une autorisation administrative qui permet de réaliser des travaux de construction. Cette autorisation permet de s’assurer que le projet de construction est conforme aux règles en vigueur en matière d’urbanisme. Lorsque vous souhaitez construire ou agrandir une maison, vous devez déposer un dossier auprès de la mairie pour obtenir un permis de construire. Mais quel est le prix d’un tel permis ? Les différents éléments à prendre en compte pour connaitre le prix d’un permis de construire Il est difficile de donner un prix précis pour un permis de construire car il dépend de nombreux facteurs. Tout d’abord, le prix d’un permis de construire dépend de la surface de la maison à construire. Plus la surface est importante, plus le prix du permis est élevé. Ensuite, le prix est également lié à la nature du projet et à l’utilisation des matériaux. Par exemple, si vous souhaitez construire une maison en bois, le prix du permis sera plus élevé que pour un projet de construction en béton. Les dépenses annexes à prendre en compte Lorsque vous souhaitez construire une maison, il est important de prendre en compte les dépenses annexes liées au permis de construire. En effet, le prix du permis ne se limite pas au montant de la taxe d’aménagement et de la taxe foncière. Il faut également prendre en compte le coût des études et des plans réalisés par un architecte, le coût de la déclaration préalable des travaux et le coût de l’étude thermique. De plus, il faut également prévoir le coût du dépôt du dossier auprès de la mairie et le coût des recours si le permis de construire est refusé. Le prix moyen d’un permis de construire Le prix moyen d’un permis de construire est d’environ 1000€. Cependant, il est important de noter que ce prix peut varier considérablement en fonction de la surface de la maison, de la nature du projet et de l’utilisation des matériaux. Ainsi, pour un projet de construction d’une maison de 100m², le prix du permis sera d’environ 1500€ alors que pour une maison de 200m², le prix du permis sera d’environ 2000€. Les démarches à effectuer pour obtenir un permis de construire Si vous souhaitez construire une maison, il est important de savoir que vous devez obtenir un permis de construire auprès de la mairie. Ce document est indispensable pour lancer les travaux de construction. Mais quelles sont les démarches à effectuer pour obtenir un tel document ? Les prérequis à réunir pour obtenir un permis de construire Avant de déposer le dossier de demande de permis de construire, il est important de vérifier que vous remplissez les conditions requises. Vous devez disposer d’un terrain constructible ou d’une emprise sol suffisante pour y construire. Vous devez réaliser un plan de masse de votre projet de construction. Vous devez également déposer un dossier de demande de permis

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Vous souhaitez construire une piscine sur votre terrain mais vous ne savez pas quelle taille de bassin vous pouvez installer sans avoir à faire une demande de permis de construire ? On vous explique toutes les règles à connaître et les point important à vérifier avant de commencer les travaux. Piscine sans permis : quelles sont les règles à connaître ? Si vous voulez construire une piscine sans avoir à effectuer de déclaration préalable ou de demande de permis de construire, vous devez respecter certaines règles et vous assurer que votre projet est bien conforme à la réglementation en vigueur. Dans tous les cas, les travaux qui concernent la piscine doivent respecter les règles d’urbanisme et de construction en vigueur dans votre commune. Voici les principales règles à connaître pour construire une piscine sans permis de construire : La piscine ne doit pas dépasser 10m² de surface. La piscine ne doit pas dépasser une hauteur de 1,20m. La piscine doit être installée à plus de 2 mètres de toutes les limites de propriété. La piscine doit être située à plus de 5 mètres du voisinage. La piscine ne doit pas occuper plus de 20% de la superficie du terrain. La piscine ne doit pas dépasser une profondeur de 1,80m. Comment choisir la taille de sa piscine sans permis ? Lorsque vous choisissez la taille de votre piscine sans permis, vous devez tenir compte de plusieurs facteurs : La taille de votre terrain : vous devez vous assurer que la piscine ne prend pas plus de 20% de la superficie de votre terrain. Les règles d’urbanisme et de construction en vigueur dans votre commune. Les règles relatives aux piscines sans permis de construire. Les règles et normes européennes relatives aux piscines. L’usage que vous souhaitez en faire : pour des jeux pour enfants ou pour des activités sportives ? Une fois que vous avez pris en compte ces facteurs, vous pouvez commencer à réfléchir à la taille de votre piscine sans permis de construire. Quel type de piscine sans permis choisir ? Une fois que vous avez défini la taille de votre piscine sans permis, vous devez choisir le type de piscine que vous souhaitez installer. Vous avez le choix entre une piscine enterrée, une piscine hors-sol ou un abri de piscine. Chacune de ces solutions a ses avantages et ses inconvénients, vous devez donc réfléchir à votre choix en fonction de votre budget, de votre terrain et de vos besoins. Comment vérifier la conformité de son projet de piscine ? Avant de commencer les travaux pour votre piscine, il est important de vérifier que votre projet est bien conforme à la réglementation en vigueur. Vous devez vous assurer que votre projet respecte les règles d’urbanisme et de construction en vigueur dans votre commune. Voici quelques conseils pour vérifier que votre projet de piscine est conforme : Demander un certificat d’urbanisme à votre mairie. Vous renseigner auprès de votre mairie pour savoir si des règles particulières s’appliquent à votre terrain. Vérifier

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Cette opération consiste à raccorder la parcelle constructible aux différents réseaux : gaz, électricité, eau, téléphone, assainissement. Lorsqu’on projette de faire bâtir une maison, le terrain destiné à l’accueillir n’est pas forcément viabilisé. Si la loi oblige un promoteur, ou un lotisseur, de raccorder le terrain aux différents réseaux, cette procédure n’est pas imposée à un simple particulier qui décide de vendre le foncier dont il est propriétaire. Il revient donc à son acquéreur de s’en occuper. C’est un opération légale à laquelle il ne peut pas échapper. Aucun terrain ne sera juridiquement considéré comme constructible s’il n’est pas aménagé au préalable : une viabilisation est en effet exigée pour assurer des conditions de décence et de confort réglementaires aux futurs occupants de la parcelle. Comme un primo-accédant, dépourvu de recul et d’expérience dans ce type de procédure, doit-il concrètement s’y prendre ? Consulter le plan local d’urbanisme Première étape : avant d’acheter un emplacement, il est nécessaire de ne pas faire une confiance aveugle aux dires du vendeur et d’aller s’assurer, par soi-même, que sa surface est bien constructible. Cette vérification implique de faire un petit saut en Mairie où se trouve le plan local d’urbanisme (PLU) qui répertorie chaque maison terrain inclus dans le périmètre de la commune.  Ce document officiel, qu’il est absolument nécessaire de consulter, fournit la preuve que la parcelle est viabilisable. Deuxième étape : une fois cette certitude acquise, l’administration municipale est en mesure de remettre au porteur de projet un certificat d’urbanisme pré-conventionnel qui mentionne l’ensemble des conditions et modalités du raccordement à réaliser selon la configuration et la localisation du site concerné : l’ensemble de ces données permet de fournir au prestataire chargé de l’intervention toutes les informations techniques nécessaires au chiffrage et à la préparation des travaux. Troisième étape : Si les deux précédentes étapes ont abouti, le candidat peut procéder à l’acquisition du terrain sans crainte. Il lui reste à demander un permis de construire auprès de la Mairie, ou une déclaration préalable de travaux. Attention, une fois toutes les formalités accomplies, l’opération de viabilisation peut durer deux à trois mois. Parfois moins. Mais aussi parfois plus, jusqu’à six mois si le chantier se révèle plus complexe que prévu et entraîne par exemple une extension du réseau public de distribution d’eau afin de desservir dans le terrain nu dans les meilleures conditions. Combien faut-il débourser ? Le coût des travaux varient en fonction de leur importance, mais aussi de la région où ils sont réalisés : Le prix d’un raccordement au réseau d’électricité s’élève à environ 1 000 euros, entre 3 000 et 10 000 pour le réseau d’assainissement, entre 400 et 1 000 euros pour une desserte par le gaz public.

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En vieillissant, la toiture perd la plupart de ces qualités. Elle devient terne et perd son esthétique. Ses performances thermiques sont également réduites et la chaleur à l’intérieur de la maison s’échappe par ses parois. Dans de telles circonstances, il est nécessaire de procéder à sa réfection. Néanmoins, il faut savoir qu’une telle opération peut occasionner un lourd chantier. Des travaux lourds, complexes et couteux en sont généralement issus. Si vous envisagez de rénover la toiture de votre logement, voici comment estimer le coût des travaux. Quelles sont les formes que peut revêtir la réfection d’un toit ? En principe, une toiture a besoin d’être rénovée tous les 20 à 30 ans. La fréquence des travaux dépendra néanmoins de son état général. Pour leur réalisation, il est recommandé de faire appel à un professionnel comme cet artisan couvreur à Cergy. Concrètement, la réfection de la toiture se matérialise par le remplacement des matériaux de couverture. Par conséquent, elle est complète ou partielle. Dans le premier cas, on procède au remplacement de l’intégralité des éléments de couverture qui habille le toit. Sachez que la réfection complète de la toiture est soumise à une autorisation d’urbanisme (un permis de construire ou une déclaration préalable des travaux). En revanche, la réfection du toit est dite partielle lorsqu’elle n’affecte qu’une partie de cette structure. Autrement dit, on ne change qu’une partie du revêtement de celle-ci. Ainsi, le coût des travaux va dépendre de la forme que va revêtir la réfection du toit. Quels sont les autres facteurs à prendre en compte pour estimer le coût de la réfection du toit ? Outre la distinction que nous avons vue précédemment, les couvreurs professionnels prennent en compte d’autres facteurs pour déterminer le coût de leur prestation. Concernant la réfection de la toiture, son prix varie en général en fonction de : La superficie du toit : plus il sera vaste, plus sa rénovation sera onéreuse ; La forme de la toiture et son inclinaison ; Le matériau de couverture choisi : on peut recourir à différents types de revêtements dans le cadre de la réfection du toit (ex. : ardoises, tuiles en terre cuite, tôles, etc.). Le coût de ces matériaux dépend de leur qualité et de la quantité requise pour effectuer les travaux ; L’emplacement de la maison : Le déplacement des professionnels vous sera facturé. Pour minimiser les dépenses, il est donc conseillé de faire appel à un couvreur à proximité de chez vous. Toutefois, les artisans peuvent appliquer un tarif différent même s’ils doivent effectuer une même prestation. Pour être mieux préparé aux travaux, pensez donc à leur demander un devis au préalable. Réfection de toiture : à quel prix faut-il s’attendre ? Le devis délivré par un couvreur professionnel vous permettra de connaitre exactement le coût de la rénovation de votre toit. Celui-ci dépend principalement du type de revêtement que vous désirez mettre en place. À titre indicatif, la réfection d’une toiture en shingle coûte en moyenne entre 8 € et 10 € par m². Pour une toiture

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